Comme tous les mois, nous invitons un expert ou dirigeant pour échanger sur un enjeu de transition écologique pour son entreprise dans le cadre du cycle de wébinaire #sansfiltrepourlaplanète.
Ce jeudi 15 mai 2024, nous échangions avec Matthieu Astic, expert en comptabilité écologique et RSE, chez Endrix, sur la mesure de l’impact écologique de l’entreprise et la CSRD.
À (re)voir dans ce replay disponible en ligne :
- CSRD : enjeu, calendrier et périmètre
- Double matérialité : késako ?
- La comptabilité écologique pour repenser son modèle d’affaires
- Exemples et Q/R
Sur le plan de la consommation énergétique, même si un bateau utilise de 40 à 50 litres de carburant par heure, l’efficience de transport, mesurée en coût par tonne, est nettement plus avantageux grâce au volume important de fret acheminé.
Le secteur fluvial ne représente que 3% des émissions totales générées par le transport en France, tandis que le routier à lui seul en représente 85%.
Des entreprises telles qu’Ikéa, Franprix… exploitent judicieusement le fluvial en combinant l’acheminement par eau avec l’utilisation de véhicules écologiques pour la livraison finale. C’est un très bon exemple de comment les entreprises peuvent tirer parti du transport fluvial.